Construisez un mindset solide pour réussir en freelance RH : surmontez vos peurs, boostez vos soft skills et bâtissez une activité épanouissante et durable.
Se lancer en tant que freelance RH, c’est franchir une étape décisive dans son parcours, avec l’envie de reprendre la main sur ses missions, de choisir ses clients et de construire un quotidien qui a du sens. La liberté de l’indépendance attire : organiser son temps, adapter son activité à ses besoins, et travailler selon ses propres critères. Mais cette autonomie s’accompagne aussi de nouveaux défis, comme la gestion administrative, la prospection ou le risque d’isolement. En tant que nouveau consultant RH, il est fréquent de se demander s’il vaut mieux avancer seul ou rejoindre un collectif freelance pour bénéficier d’un accompagnement, partager des ressources et élargir votre réseau professionnel.
Cet article vous propose un tour d’horizon complet des bénéfices et des limites de chaque modèle. Vous y trouverez des pistes pour développer votre expertise, et faire le choix le plus pertinent pour vous. Que vous soyez déjà indépendant ou que vous envisagiez de le devenir, ce guide vous aidera à clarifier vos priorités et à identifier la solution la plus adaptée à vos objectifs et à votre façon de travailler.
Le freelancing peut s’imposer comme une évidence à un moment clé d’un parcours professionnel dans le secteur des ressources humaines. Même si l’insécurité ou la crainte de l’instabilité financière peut freiner au départ, de nombreux consultants RH indépendants témoignent qu’une fois lancés, ils se demandent pourquoi ils n’ont pas franchi le cap plus tôt.
Il faut dire que l’indépendance offre de réelles satisfactions.
Qui n’a jamais rêvé de plus de liberté dans sa vie professionnelle ? Pouvoir adapter ses journées selon ses besoins, profiter de ses proches quand ils sont disponibles, ou simplement reprendre le contrôle de son temps. L’indépendance vous le permet !
Cette autonomie vous laisse le choix de vos missions et de vos clients selon vos propres critères, en accord avec vos envies ou même vos convictions personnelles. C’est aussi une opportunité rare dans le monde du travail : celle de bénéficier d’une vraie flexibilité. Vous structurez votre activité à votre rythme, en accord avec vos priorités, qu’elles concernent votre carrière ou votre vie privée, et adaptez votre organisation quotidienne pour optimiser votre efficacité et votre satisfaction.
Le modèle de l’indépendance vous donne la capacité de construire un quotidien sur-mesure aligné avec vos objectifs et votre organisation quotidienne. Un vrai levier pour un meilleur équilibre entre vie pro et perso.
Se lancer dans l’indépendance, ce n’est jamais anodin. Vous devez tout gérer vous-même : trouver des projets, développer votre activité, assurer le suivi administratif… sans pouvoir toujours déléguer.
Mais ce qui vous semble lourd à porter est aussi ce qui vous rend remarquable aux yeux de vos futurs clients potentiels. Cette capacité à piloter seul votre activité, à gérer plusieurs dossiers à la fois, démontre une autonomie précieuse… et une vraie expertise métier. Aux yeux des entreprises, cela renvoie une image de rigueur, de fiabilité, et d’efficacité. Et c’est exactement ce qu’elles recherchent quand elles font appel à un travailleur indépendant RH !
Ce professionnalisme, c’est souvent ce qui fait toute la différence sur un profil indépendant. Si vous vous interrogez encore sur les compétences à développer ou les bonnes pratiques pour réussir votre lancement, je vous invite à (re)lire notre article de blog : Devenir freelance RH : tout savoir avant de vous lancer pour avoir toutes les clés en main !
L’autonomie, c’est souvent la solution pour retrouver plus de liberté dans son parcours. Mais il faut aussi accepter qu’elle s’accompagne parfois d’une charge de travail supplémentaire : on gère tout, on apprend sur le tas, on avance à son rythme. Pourtant, malgré les difficultés du début, il faut avouer qu’il devient difficile de renoncer à ce statut d’entrepreneur une fois qu’on a surmonté ce défi.
Cette liberté soudaine soulève aussi des inconvénients qui ne sont pas négligeables. Ces limites, on les découvre souvent une fois passé l’enthousiasme des débuts, quand la réalité du quotidien de freelance s’installe.
Le sentiment de solitude est souvent le premier point négatif ressenti par les freelances RH. D’ailleurs, selon un sondage IPSOS, 24% des indépendants en France citent l’isolement comme l’un des principaux inconvénients de ce statut. Perdre ses collègues du quotidien peut donner l’impression d’être coupé de ses pairs. À la longue, ce manque de relations peut peser sur la motivation et finir par impacter le bien-être, même quand on aime son activité.
La charge mentale, elle aussi, fait vite partie du quotidien quand on choisit le freelancing RH. Être indépendant, c’est devoir tout gérer : l’administratif, la prospection, le service clientèle, et toutes ces tâches qui, en salariat, seraient réparties entre plusieurs fonctions. Résultat : la charge de travail s’alourdit, et il devient difficile de vraiment décrocher, même pendant les moments qu’on voudrait consacrer à soi ou à ses proches. Beaucoup de freelances le disent : les frontières entre activité et temps personnel deviennent floues, ce qui peut générer un stress important et complique l’équilibre qu’on recherche en se lançant dans ce métier.
À cela s’ajoute un autre défi, plus insidieux : devoir faire face à des domaines totalement nouveaux. L’administration, la stratégie commerciale, la croissance d’activité sont autant de compétences rarement explorées dans un parcours salarié. Et face à ces zones inconnues, le doute peut vite s’installer. Le sentiment de ne pas être légitime, de ne pas savoir faire, nourrit ce fameux syndrome de l’imposteur… et alourdit encore un peu plus la charge mentale.
Parmi les raisons qui poussent à choisir l’indépendance, il y a cette envie forte de sélectionner ses clients, de travailler avec des personnes et des organisations qui partagent nos valeurs. Mais la réalité, c’est qu’on accepte parfois des missions par nécessité, et non par choix. En effet, trouver assez de projets pour assurer un revenu régulier est un défi permanent en tant qu’indépendant. Prospecter, réseauter, répondre à des appels d’offres est un pan redouté des freelances RH et pourtant indispensable… sans garantir toujours des résultats positifs.
L’indépendance ne garantit ni protection financière ni salaire assuré. Les périodes sans contrat peuvent donc engendrer un réel stress financier, puisque le revenu dépend uniquement des projets réalisés. D’autant plus qu’en tant qu’indépendant, les indemnités de chômage en cas d’inactivité ne sont pas autorisées. L’instabilité des revenus reste donc une source d’inquiétude pour beaucoup d’indépendants. Un guide complet pour bien gérer son argent en tant que freelance, est d’ailleurs également disponible sur notre blog.
Face à ces limites génératrices de stress, les travailleurs indépendants ont du mal à en parler, se sentant isolés de leurs pairs. Ils se retrouvent alors confrontés à des risques psychosociaux. Pourtant, des solutions existent pour combattre ce sentiment de solitude et sécuriser leur activité. Rejoindre un réseau serait-il l’une d’elles ?
Depuis plusieurs années, des collectifs de professionnels indépendants se forment et tentent de répondre aux difficultés liées au travail en autonomie totale.
Ces réseaux peuvent-ils représenter une réelle opportunité pour les profils RH en solo ?
Rejoindre un réseau ne signifie pas renoncer à son indépendance. Vous intégrez une communauté d’autres travailleurs indépendants RH et mutualisez vos forces tout en restant votre propre patron. Vous cumulez ainsi les bénéfices de l’indépendance et du travail en équipe. Si chaque type de structure fonctionne à sa manière (nous approfondirons les différents types de réseaux dans la partie 5), elles offrent toutes de nombreux points positifs !
La principale force du collectif réside dans la dimension communautaire, où la force vient de l’échange de conseils, d’entraide et d’avis sur certains projets. On peut y solliciter ses pairs sur des points techniques liés au métier, ou simplement pour partager un moment plus léger et échanger sur le quotidien. Cette entraide qui pousse à la collaboration contribue à briser le sentiment d’isolement et à retrouver de la motivation dans les moments de doute.
L’accès à des projets peut être facilité par le fait d’intégrer un réseau, et ce, pour plusieurs raisons.
Grâce au mentorat proposé par la structure elle-même, selon son organisation : mise en relation avec des missions, aide à la prospection, ou mise à disposition d’outils recensant des contacts pour faciliter les échanges et le réseautage.
Par les autres membres du réseau, qui peuvent partager des contacts ou transmettre des tâches qu’ils ne peuvent ou ne souhaitent pas assurer.
En plus de simplifier la recherche, cela permet parfois d’accéder à des structures plus importantes et donc à des projets plus valorisants. Certains réseaux, en gagnant en notoriété et en véhiculant une image positive, peuvent attirer des clients prestigieux qu’un freelance isolé aurait plus de mal à convaincre. Ces structures rassurent les clients potentiels et représentent un véritable gage de qualité.
Intégrer un réseau peut permettre d’accéder à certains outils professionnels à tarifs préférentiels, ou de bénéficier de moyens mutualisés. Cela vous donne accès à des ressources autrement inaccessibles ou trop coûteuses en solo. Des templates pour communiquer, des formations en ligne, ou encore des abonnements professionnels à certains logiciels sont ainsi proposés, alors qu’ils sont souvent mis de côté par les indépendants faute de budget. Le partage des ressources, comme des templates pour vos contenus sur les réseaux sociaux ou des fiches d’audit prêtes à l’emploi, représentent également un gain de temps considérable. Cette mise en commun vous permet d’être mieux équipé, donc plus performant, tout en vous concentrant sur votre cœur de métier.
L’un des aspects clés de l’indépendance est l’apprentissage continu, qui implique une veille constante des évolutions législatives, la recherche de formations accessibles, ainsi que des indications et témoignages pertinents sur les réseaux sociaux. Au sein d’un collectif, le mentorat des membres, via des formations sur la prospection commerciale, le personal branding, l’utilisation de nouveaux logiciels ou les évolutions réglementaires RH, permet d’accélérer la montée en compétences et de développer son activité plus sereinement. Le partage d’expérience entre freelances et les échanges réguliers au sein du réseau permettent aussi d’apprendre des meilleures pratiques pour gérer les relations clients et relever les défis de l’entrepreneuriat. De nombreuses structures proposent même un parcours d’intégration, avec par exemple un système de parrainage.
Le groupe peut également faire office de “vitrine” pour les travailleurs indépendants qui y sont actifs. Cette force marketing se traduit par une visibilité sur le site web de la structure, par une mise en avant sur les réseaux sociaux, ou encore par le fait d’être présenté comme membre d’un groupe. Ces organisations disposent d’une identité de marque qui valorise les indépendants auprès des prospects et agit comme un véritable label de confiance.
Les collectifs rassemblent de nombreuses forces, qu’elles soient humaines, matérielles ou commerciales. Ces atouts répondent aux principales craintes des indépendants et les soutiennent concrètement dans leur parcours entrepreneurial.
Nous l’avons vu, s’investir dans un groupe présente une certaine valeur ajoutée. Mais cela vaut-il vraiment le coup de franchir le cap ? Comparons plusieurs points afin d’avoir une vision claire de ce que change l’adhésion à une structure par rapport au statut d’indépendant solo.
Les bénéfices d’un réseau sont multiples et loin d’être négligeables dans une carrière freelance.
Amélioration du bien-être psychologique : rejoindre un collectif permet de ne plus avancer seul. Le sentiment d’appartenance à une communauté, le fait de pouvoir échanger avec des personnes qui vivent les mêmes réalités, rassure et rompt l’isolement souvent pesant dans le quotidien d’un indépendant. Cela joue directement sur la motivation et l’équilibre mental.
Accélération du développement commercial : la visibilité offerte par le réseau peut ouvrir des portes qu’un travailleur indépendant isolé aurait eu du mal à franchir. Être membre d’un collectif crédible attire des clients plus importants et des projets plus ambitieux. Le bouche-à-oreille interne peut aussi faire circuler les opportunités entre membres.
Gain de temps : grâce aux ressources partagées (modèles, retours d’expérience…), on évite de partir de zéro à chaque nouveau projet. Cela permet de se concentrer sur l’essentiel, de gagner en efficacité et d’alléger la charge mentale liée à la gestion de tout, seul.
Diversification des leviers de développement : au-delà de la régularité des missions, certaines structures proposent des systèmes complémentaires de rémunération comme le parrainage ou l’apport d’affaires. Cela permet de lisser les périodes creuses et d’aborder l’avenir avec plus de sérénité.
Certains freins peuvent expliquer l’appréhension à rejoindre un collectif, mais ils reposent bien souvent sur des idées reçues.
Le coût d’adhésion : c’est l’une des craintes les plus fréquentes chez les freelances, qui redoutent que le prix pour intégrer un réseau ou la commission prélevée sur les missions réduise leur rentabilité. Pourtant, quand le collectif est bien choisi, ces coûts sont largement compensés par l’accès à des contrats, des logiciels professionnels, de la visibilité et du soutien au quotidien. C’est un investissement plus qu’une dépense.
La peur de perdre son indépendance : intégrer un collectif ne signifie pas devenir salarié. Le collectif n’est pas un employeur mais un partenaire. Vous restez totalement indépendant : vous choisissez vos projets, vos clients, votre rythme. Les seules obligations éventuelles peuvent être liées à des formations ou à des temps d’échange… mais rien n’est imposé. C’est vous qui décidez de votre implication.
La crainte de contraintes ou d’uniformisation : certains travailleurs indépendants ont peur de devoir gommer leur identité pour se fondre dans celle du réseau. En réalité, si le collectif propose une stratégie de marketing commune, cela n’empêche pas de continuer à mettre en avant votre propre marque. Les deux peuvent coexister et même se renforcer mutuellement. L’image du collectif peut rassurer les clients, tandis que votre singularité continue de faire la différence.
Les collectifs de freelances RH se multiplient, et il en existe aujourd’hui plusieurs types, avec des modes de fonctionnement variés et des atouts qui diffèrent. Voici quelques clés pour vous aider à faire le bon choix en fonction de vos besoins et de vos priorités.
Critères | Freelance solo | Freelance en collectif |
---|---|---|
Liberté d’organisation | Totale liberté : aucune contrainte extérieure d’horaires ou de processus | Grande liberté : chacun s’organise comme il le souhaite. Seules quelques réunions ou le respect d’une charte peuvent être demandés selon le collectif. |
Accès aux missions | Prospection constante : recherche de clients seul avec un réseau de contacts personnel et donc limité | Opportunités valorisantes : missions parfois apportées par d’autres membres du collectif ou par le réseau et accès à plus de contacts |
Entraide | Sentiment d’isolement : pas de collègues au quotidien. Il faut trouver seul les réponses à ses questions, se former par ses propres moyens et gérer les problèmes sans pouvoir s’appuyer sur une équipe. | Communauté : accès à un réseau de pairs afin de partager des conseils, poser des questions et trouver du soutien |
Visibilité | Visibilité limitée : en solo, on construit sa réputation soi-même, on investit dans sa communication, et c’est en son propre nom qu’il faut convaincre les clients. | Visibilité de marque : les membres profitent de la marque du collectif, ce qui permet de se démarquer, crédibiliser son expertise et la mise en confiance des clients |
Diversification des leviers de développement (financiers et psychologiques) | Revenus irréguliers et stress : aucune garantie de revenus minimaux, et les imprévus doivent être gérés seul, sans possibilité de déléguer. Le risque de démotivation, lui aussi, est plus élevé quand on avance sans appui. | Filet de sécurité : flux de missions plus réguliers, apports financiers autres via les parrainages, pourcentage d’apporteur d’affaires… |
Coûts | Autonomie financière : pas de frais d’adhésion ou d’abonnements (selon les collectifs) mais doit assumer tous les coûts liés à son activité | Coût d’adhésion et commission : les membres ne perçoivent pas l’entièreté du chiffre d’affaire mais bénéficient de nombreux bénéfices qui souvent rentabilisent les coûts |
Ces communautés fonctionnent davantage comme des clubs de pairs, réunis pour s’entraider et unir leurs forces, notamment en termes de visibilité. Elles ne reposent pas sur une structure juridique formelle et leur fonctionnement reste assez souple. L’objectif principal est de regrouper des talents sans hiérarchie, pour partager des postes ponctuels, des conseils ou simplement se soutenir. Il n’y a donc ni engagement formel, ni coût à prévoir, car les moyens mutualisés sont limités et il n’y a pas de représentation officielle du collectif en tant qu’entité.
Le réseau est une organisation officielle, souvent constituée sous forme d’association ou d’entreprise. Les freelances y forment une communauté autour d’une marque, moyennant une adhésion, parfois un abonnement, et un pourcentage prélevé sur les missions. En échange, ils bénéficient de modèles, de formations, et d’un accompagnement administratif et financier. L’aspect communautaire est très fort : des événements sont organisés pour se retrouver, et des échanges réguliers ont lieu sur des plateformes dédiées, favorisant les liens entre pairs, la diffusion de témoignages… et même d’opportunités. Ce type de réseau convient particulièrement à ceux qui aiment s’impliquer un minimum dans une dynamique collective.
La coopérative est une structure juridique dans laquelle vous devenez salarié tout en restant autonome sur vos missions : vous adoptez alors le statut d’entrepreneur salarié. L’entité prend en charge toute la partie administrative et vous fait bénéficier d’une protection sociale complète (maladie, chômage, retraite). En contrepartie, vous ne percevez pas l’intégralité de votre chiffre d’affaires, une commission étant prélevée. C’est une solution idéale pour tester une activité en limitant les risques.
Sur un modèle proche de la franchise commerciale, il faut payer pour exploiter la marque de la licence. Cela permet de bénéficier de sa notoriété, de ses outils, de ses process, et d’être accompagné, souvent à travers des formations. Ce cadre offre un vrai savoir-faire, mais il a un coût important et impose certaines règles : des objectifs à atteindre, un cahier des charges à suivre, ce qui peut limiter la liberté d’action.
Ce type de collectif fonctionne principalement en ligne, à travers une plateforme de mise en relation entre consultant et entreprises.
Les freelances peuvent candidater à des offres directement via l’interface, seuls ou parfois en groupe. L’aspect communautaire y est plus discret, et l’accompagnement reste généralement limité. Comme dans d’autres modèles, une commission est prélevée sur chaque mission réalisée.
Pour vous aider à faire le bon choix, voici quelques questions à vous poser pour identifier le modèle qui vous correspond le mieux !
Quels services concrets sont proposés ? Y a-t-il un véritable appui administratif (contrats, templates, fiches d’audit), un soutien commercial (prospection, échange de contacts), ou des formations ?
Quelles sont les priorités du collectif : esprit communautaire, performance commerciale, montée en compétences ?
Qui sont les travailleurs indépendants déjà membres ? (âge, nombre, spécialités, niveau d’expérience…)
Quelle est sa réputation ? Est-il visible en ligne, actif sur les réseaux ? Depuis combien de temps existe-t-il ?
Comment fonctionne la facturation ? Faut-il payer un abonnement, une adhésion ? Y a-t-il une commission sur les missions ? Comment est versée la rémunération ?
Les outils proposés sont-ils modernes, simples à prendre en main, et adaptés à mon activité ? Une aide est-elle prévue pour les utiliser ?
Et enfin, quelles sont vos attentes ? Est-ce que ce collectif réponde à votre manière de travailler et s’aligne avec vos objectifs professionnels ?
Chaque freelance peut trouver le modèle qui lui correspond, à condition de bien connaître les options et de se poser les bonnes questions.
La Ressource Humaine est un collectif structuré qui s’adresse aux freelances dans le secteur des RH souhaitant évoluer sans être seuls.
Des ressources concrètes sont mises à disposition : suivi métier et entrepreneurial, outils RH partagés, licence de marque, et même un CRM avec des prospects qualifiés. La prospection, souvent source de blocage, est abordée sans pression lors de journées dédiées pour s’y sentir plus à l’aise.
Le collectif accorde une vraie place à l’humain : des échanges en ligne très actifs, des séminaires réguliers pour se rencontrer et créer du lien. L’animation repose aussi sur un système de parrainage façon marketing de réseau, MLM, où les consultants expérimentés accompagnent les nouveaux. Cela renforce la dynamique d’entraide tout en permettant de générer des revenus complémentaires.
Le processus de recrutement peut aussi varier selon les types de collectifs. Chez La Ressource Humaine, il se fait après un webinar de présentation, suivi d’un entretien avec les dirigeants, puis avec des membres du réseau. Cela permet de poser toutes vos questions, de mieux comprendre l’organisation et, surtout, de créer un premier lien humain. L’objectif est de vous mettre à l’aise dès le départ, pour que votre intégration se passe dans les meilleures conditions. Un séminaire est ensuite organisé pour que chaque nouvelle promo se rencontre et qu’une vraie cohésion puisse se créer au sein de l’équipe.
Les principales prestations proposées par La Ressource Humaine sont le temps partagé, pour intervenir de façon régulière dans les entreprises, et le consulting, qui inclut généralement un audit en amont pour bien cerner les besoins et poser un diagnostic clair. Ces formats permettent d’agir sur des missions concrètes tout en gardant une vraie souplesse d’intervention.
L’adhésion fonctionne via un abonnement mensuel et une commission sur le chiffre d’affaires. Mais le modèle permet aussi de sécuriser les périodes plus calmes en touchant un pourcentage sur les projets apportés ou réalisées par ses filleuls.
La Ressource Humaine, c’est une vraie communauté pour avancer à plusieurs sans renoncer à son indépendance.
Besoin d’un coup de pouce pour vous lancer ?
Le réseau La Ressource Humaine vous permet de bénéficier d’un cadre sécurisant pour vous accompagner sur le chemin du freelancing RH !
Choisir entre rester freelance indépendant ou rejoindre un collectif RH, c’est avant tout une question d’équilibre : entre liberté, sécurité et envie de partager. Si l’indépendance séduit par la flexibilité qu’elle offre, elle met aussi à l’épreuve la capacité à gérer seul toutes les facettes du métier : prospection, administration, croissance de son réseau, et maintien de la motivation au quotidien. À l’inverse, intégrer un collectif permet de mutualiser les ressources, d’accéder à des missions plus variées, de profiter d’un accompagnement et de l’expérience d’autres consultants, tout en gardant la main sur ses projets et ses clients.
Il n’existe pas de solution universelle : chaque parcours est unique, chaque besoin aussi. L’essentiel est de bien définir ses priorités, d’identifier le modèle qui correspond le mieux à sa façon de travailler et à ses objectifs. Que vous choisissiez de rester indépendant ou de rejoindre une communauté, gardez en tête que la réussite en tant que travailleur indépendant RH repose autant sur l’expertise que sur la capacité à s’entourer, à échanger et à évoluer dans un environnement stimulant. À vous de trouver la formule qui vous permettra de vous épanouir et de faire grandir votre activité, à votre rythme et selon vos ambitions.
Construisez un mindset solide pour réussir en freelance RH : surmontez vos peurs, boostez vos soft skills et bâtissez une activité épanouissante et durable.
Les 5 stratégies à mettre en place pour trouver ses premières missions en tant que freelance RH
Etre indépendant implique nécessairement une gestion financière différente que lorsqu’on est salarié. Devenez maître de vos finances tout en étant freelance, grâce aux conseils avisés de MyHike, spécialiste en bien-être financier !